Moi c'est Zenoh alias Noah, le cerveau derrière le blog.

J'y partage mes idées, mes délires, mes histoires et mes conseils que j'applique en développement "personnel", le tout avec un max de vibes positives. :))

À cœur ouvert, je me présente

Il était une fois... JE.

J’étais – et puis m*rde – je suis dyslexique, un trouble de l’apprentissage qui te fait croire que tu es super con. À vrai dire, je le masque vraiment super bien – j'arrive à trouver des parades – mais à l’époque, j’étais poussin et c’était très difficile. L'impression que les lettres, les chiffres, les sons, les mots se mélangent pour danser la rumba sur mon livre – aujourd'hui mon fichier Excel. Heureusement et bien heureusement, un jour ma maîtresse de CE1 m'a prise sous son aile.

Elle a été bien plus qu’une maîtresse d’école – une fée bienveillante – pour moi, elle m’a appris les bases qui me manquaient, des techniques et des principes de la vie. Cela fut – grâce à elle – le début de mon amour de l’apprentissage. Le début d’une vie de malice et de sourire – même quand c’est dur et crois-moi, c’est dur. Scolairement, je viens de boucler ma L3 et je suis en route pour le TOP 5 en école de commerce (FR). Je la remercie, elle et mes parents qui m'ont toujours poussé – pas dans les escaliers, je vous rassure, MDR. Là, je réfléchis un peu trop, mais je pense souvent n'être qu'une externalité positive de mon environnement – ah, on renta enfin les courss d'Économie – ou la bonne conséquence, le fruit, le produit de l'effet pygmalion. De la chance... Maybe.

Discret, mais toujours là pour les autres.

Détestant parler pour faire du bruit, je m'exprime quand il est nécessaire. Je n'ai aucune gêne à poser des questions. Je dis et je demande ce que je pense. Vrai et authentique comme un bon gars de banlieue. Avec mes valeurs clés : le Partage, la Dignité, le Travail, le Respect et la Gratitude. Conscient du monde et des choses qui m'entourent, j'essaie de garder les pieds sur terre et de rester humble. Bien et à l'aise avec ma solitude, j'ai toujours fait le choix de marcher seul, de manger seul plutôt que d'être influencé ou mal accompagné.

Que ce soient avec mes amis, mes équipes de foot, ma classe, mes collègues, ma famille et même des inconnus de la street. J‘ai toujours eu qu’un but principal : aider sans rien attendre en retour. J'ai vu la dépréssion de près. Par principe de paire-aidance, j’aide quitte à me mettre dans des situations pas possibles et quand je n’ai rien à donner, "il y a des moments où juste un sourire sincère peut faire des miracles".

Bien sûr, je ne suis pas totalement parfait – ah ah ah, MDR. Je ne cherche pas forcément la confrontation, mais avec moi soit ça explose (puis tout est réglé), soit je boude. Oui, comme un enfant et ça dure peut duré. Parfois, j'avoue, je plaide coupable, – c'est vrai que – ça m'arrive d'être vraiment, extrêmement, terriblement, fabuleusement très chiant.

Quand j'étais petit, je voulais être un Super-héros.

Ça, c'est ma quête principale, mon étoile du nord. En grandissant, j'ai compris que je voulais juste – je vais juste – avoir un réel impact positif sur un grand nombre de personnes (un milliard). Je vais sauver tout le monde en commençant par les miens : ma mère, mon père, ma FAMILLE, mes proches. Afin d'avancer dans ce sens, je fais mon possible pour créer et donner un maximum de valeur autour de moi." Quoi qu'il arrive tu dois sauver le plus de gens possible."

Que ce soient mes amis, mes coéquipiers, mes camarades, mes condisciples, mes frères d'arme, mes collègues, ma famille et même des inconnus dans la street. J‘ai toujours eu qu’un but principal : aider sans rien attendre en retour. J’aide quitte à me mettre dans des situations pas possibles et quand je n’ai rien à donner – il y a des moments, où juste un sourire sincère, un regard, un bonjour peut faire des miracles.

Je vois ma vie comme un "jeu infini" avec des niveaux incroyables ou comme une boîte de chocolats.

Brique par brique, je construis le mur de mon expérience, de ma vie. J'aime à dire que : je suis le seul architecte de ma vie. Dans cette optique, je fais, je vis plein de "quêtes secondaires" afin de me découvrir, m'ouvrir et découvrir le monde, l'univers – construire mon nid puis me faire un avis et voler de mes propres l'ailes. Vivre le moment présent. Transmettre des souvenirs, des anecdotes et des histoires.Vivre de nouvelles aventures [des micros morts]. Vivre des choses différentes et ouvrir mon champ des possibles, c'est ma définition de : Faire des quêtes secondaires.

Perso, j’ai toujours été une « bête de travail » et un petit con très, parfois trop, AAA (aventureux, ambitieux et audacieux). Oui, je ne triche pas, je me donne à fond, je travaille tout le temps et je commets des erreurs – j’ai énormément d'erreurs et d’échecs à mon compte. Mais depuis les bancs de l’école au présent de maintenant où tu respires, je n’ai jamais abandonné et je suis là. "Parce que le travail, c'est le travail." (Oui ça ne veut rien dire. MDR)

J'ai décidé de tenir fermement le stylo et de devenir l'écrivain d'une vie, la mienne.

Aujourd’hui, – j’espère que toi aussi – je me dis souvent que : "Je suis conscient de tout ce que j'ai fait. Fier d’avoir fait et de pouvoir faire tant d’erreurs parce qu’avec elles, j'apprends à avancer". J'apprends autour d’espoirs et de projet noble, ici : un partage fraternel pour une réussite collective de tous les électeurs du blog.

Motiver des potentiels et inexploités. Montrer et inspirer par l'exemple. Par un mec random, pour des gens random. C'est mon journal personnel avant d'être un blog.

Fréquemment, je parle seul, – tout va bien – je me fais des monologues, des dialogues, des débats avec mes alter ego. Du fait, ici, j'ai choisi d'écrire comme je me parle à moi-même...

Je m'appelle Noah – mais entre nous on s'en fiche hein. Je vais essayer d'être politiquement correct, intélligible et poli, mais c'est mon blog. Avec moi, chaque détail compte. Chaque mot compte (ou conte).

Ps : En langue française, je suis un grand friand des figures styles (Allégories, Métaphore, Epanadiplose...). Je les cuisine comme ratatouille – je trouve que ça épice et donne vie l'âme du texte.

FIN.